Lisez le résumé d’une discussion entre Isabelle Dion, cofondatrice du Salon de la Permaculture – Amos, et Lyne Bellemere, conférencière invitée de Montréal.
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Quelle est la plus grande barrière à promouvoir la permaculture au Québec?
L’ancienne conception que le sol est uniquement un support est bien ancré dans les mentalités en agriculture. Changer cette conception réductrice permettrait à la permaculture de faire son chemin et d’être mieux comprise.
Quelle est la chose unique que les individus pourraient faire pour promouvoir le mouvement de permaculture?
Le meilleur moyen de promouvoir et de sensibiliser est toujours d’agir soi-même selon ses croyances et ses opinions. Être fidèle à soi-même est la meilleure façon de donner l’exemple.
Qui est votre héros dans le monde de la permaculture – et pourquoi?
Je n’ai pas de hero dans le monde de la permaculture, je trouve que la plus simple paysanne jusqu’au plus grand orateur ont leur place dans le mouvement.
Pouvez-vous penser à quelque chose concernant la permaculture que vous croyez aujourd’hui et que vous ne croyiez pas il ya 10 ans?
Haha, je n’avais jamais cru que les déjections humaines pouvaient être le sujet d’un cours de 3 heures.
Où est la pratique de la permaculture la mieux établie au Québec?
Il semble y avoir un grand engouement à Frelighsburg, dans les Cantons de l’Est, où pourtant plusieurs vergers conventionnels sont installés, mais le mouvement prend de l’ampleur et on y voit apparaitre plein de belles initiatives.